Au dodo

Bollow plissa son joli petit nez de perplexité Visiblement, rien n'avait laissé supposé à personne que quelqu'un était revenu coucher le Gnome. A moins bien sur que l'aubergiste soit de la partie, il avait affaire à des gens très habiles. Si habiles que l'hypothèse de l'illusio li vint une nouvelle fois à l'esprit. Il se dirigea vers la porte de l'auberge.
Il ne lui restait plus qu'à reprendrele chemin qu'il s'était fixé en direction du lieu de son incarcération. Il espérait simplement de pas retomber sur la brute Harrick. Il n'était pas bie sur que celui-ci se montre compréhensif, mais il fallait qu'il mène son enquête sur tous ces personnages bien mystérieux. Le vulgum pecus se demande souvent d'où vient la curiosité maladive des Gnomes et bien sachez-le personne n'a jamais réussi à répondre à cette question; La théorie la plus répendue état ue théorie évolutionniste selon laquelle, les Gnomes sont fureteurs et cuieux génétiquement et qure seul les individus les plus discrets et débrouillard ont pu survivre au fil des ages. D'où le reste de leur personne: leur petite taille leur apparence insignifiante, leur minois enfantin (jusqu'à un certain point et certain âge) ...
Comme vous le voyez, Bollow ne pouvait échapper à son destin de Gnome.
Encore que cela ne concerne que les Gnomes qui partent de la cité gnomique, les autres étant tout àfait casaniers et donc ma théorie tomberait à plat mais ce n'est pas bien grave puisque ce n'est pas ma théorie. (Vous croyez que je n'ai que ça à faire?)

Non mais c'était pas vrai! Il le faisait exprès! Il venait de manquer de se faire écraser par le grand escogriffe de cette nuit et il ne lui avait même pas jeter un regard. Bollow le regarda passetr et s'assoir. Non mais pour qui se prenait-il? De toute façon, c'était la providence qui l'envoyait. pas besoin de retourner sur les lieux de sa séquestration puisque il était venu jusqu'à lui.
Sans se démonter, il se dirigea vers la table du garde et s'assit en face de lui, le regardant bien en face avec un sourie complice comme s'ils avaient gardé les oies ensemble.

"Salut toi! Alors on ne reconnat plus les vieux amis? C'est trop! Ce matin je me demandais comment va ce vieil Harrick? Et te voilà! C'est vri qu'on s'est vus il n'y a pas si longtemps... Je me disais. J'espère qu'il ne s'ennuie pas trop sans moi... C'est vrai. Sa vie de garde ne doit pas être très drole. Hein? Service service....
Tu m'offre un petit quelque chose pendant que je te tiens compagnie?

En effet, rien de tel qu'un petit verre pour briser la glace le matin. Bollow commençait à devenir u peu colant mais entre ami on supporte tout pas vrai?

Bollow eclata de rire. Le numéro de Harrick était impressionna t de vérité, et il n'aurait pas cru ça possible de la part d'une brute militaire comme il se plaisait à considérer les guerriers. Brutes tout justes bonnes à cogner sans faire preuve de la moindre finesse. Ceci dit, il aurait bien aimé parfois pouvoir cogner lui aussi, cela lui aurait éviter parfois de prendre la place du cogné

"Waouh! Trop fort ton numéro decomédien! Et vas y que je te conais pas mais je reste poli. Eh! Mais t'as hontes des vieux amis ou quoi? Je sais bien que je ne suis qu'un gnome pour toi qui es grand et fort mais quand même. après la nuit échevelée que nous venons de passer ensemble..."

Il attrappa la manchedu garde impérial et la secoua en signe de complicité et baissa le ton comme en confidence.

"Eh! To copain le mage...  fort aussi... Comme il l'a fait cramer l'autre! Tu me diras c'est toi qui l'avait envoyé au tapis... Tu t'entraines beaucoup pour arriver à ça? Bon je sais bien que ce n'est pas lapeine que je compte parvenir au même résultat vue ma taille, c'est par simple curiosité"

En tous les cas si le guerrier avait dans l'id"ée de fausser compagnie au gnome, il se mettait le doigt dans l'oeil car il était bie décidé à na pas le lacher d'une semelle. Il n'avait pas envie de lui parler en public de la façon de transporter les dormeurs jusque dans leur lit sans les réveiller mais s'il n'y avait pas d'autre moyen de s'attirer la bienveillance (peut être un bien grand mot) de Harrick, il était prêt à mettre les pies dans le plat.