COMPÉTENCES
Combat rapproché:Mauvais
Combat à distance:Très bon.
Acrobatie:Bon > Très bon
Discretion:Bon
Natation:Moyen
Equitation:Moyen
Magie: Excellent
DESCRIPTION PHYSIQUE ET MENTALE
HISTOIRE
II - VOTRE PERSONNAGE
Nom : Braxtilozen’
Prénom : Iran’Dorah
Age :27
Sexe :F
Race : Elfe
Profession: Erudit
Faction : Vagabonde
Caractère :
Iran’Dorah a le caractère que lui a donné son histoire. Erudite, assoifée de connaissance, elle court sans cesse après de nouvelles connaissances. Elle a gardé de son éducation d’Elfe la patience de la nature ce qui lui procure une détermination et une ténacité quasi sans limite. Elle est tellement tournée vers le savoir de toute sorte, qu’elle en est parfois considérée comme détachée des autres voir méprisante ce qu’elle n’est as du tout. Elle a juste tendance à ne pas voir les gens qui sont autour d’elle. Si vous parvenez à attirer son attention, jusqu’à susciter des réactions plus profondes que les simples convenances, cela voudra dire que vous êtes une personne d’un niveau intéressant. C’est à dire que vos actes, vos connaissance se révèleront à elle comme hors du commun. Elle possède une solide ambition, celle de devenir grande mage omni-élémentaire même si elle sait que le chemin sera rude et qu’elle pourrait y laisser sa vie, mais la connaissance ultime pour elle est à ce prix. Bien sur en tant qu’Elfe elle a des prédispositions élémentaliste en rapport avec la Terre, mais cela ne sera pour elle qu’une étape. Tout cela se cache sous une apparence de calme. Seul un petit sourire énigmatique vient tromper parfois son interlocuteur sur ses sentiments.
De sa vie d’Elfe elle a une observation attentive de la nature dont elle a retenu le côté implacable, mais aussi de perfection chaque chose ayant sa place.
On pourrait penser qu’une telle quête et soif de connaissance détacherait cette personne des imperfections de ce monde et lui donnerait une personnalité sans faille et pourtant qui n’en n’a pas dans ce monde. Elle en a une mais elle ne la dévoile à personne et seuls ceux qui connaissent son histoire peuvent s’en douter et peut-être l’utiliser.
Un dernier détail. Pour ceux qui s’attendraient à la rencontrer dans une bibliothèque sombre ou quelque lieu froid et hideux, qu’ils se détrompent. Cultiver la beauté naturelle de chaque chose est pour elle l’hommage suprême à la connaissance. La nature en est rempli et les êtres doués d’intelligence n’ont-ils pas sublimé leur connaissances et leurs savoir faire en créant la beauté ?
Physique :
Iran’Dorah est élancée et gracieuse comme tous ceux de sa race. Son caractère implacable se reflète dans ses yeux verts profonds qui semblent toujours vouloir percer tous les secrets et contrastent avec sa démarche souple et dansante. Sa peau est pale comme ceux de sa race et comme toute les personnes qui porte le cheveux roux.
Son visage fin est celui d’un ange, réhaussé de l’éclat des ses yeux verts toujours à l’affut de la connaissance sous toute ses formes.
Elle porte les longues tenues féminine vertes et ocre, mais aussi blanches. Elle aime aussi les couleurs chaudes qui se marient avec ses longs cheveux qu’elle coiffe avec soin mais laisse lâches dans le dos et sur ses épaules. Ses longues mèches font penser tour à tour à des vagues ou des serpents. Elle aime aussi se parer de bijoux d’or, bracelets et tours de bras. Seule marque d’agressivité son arc et ses flèches dont elle ne se sépare jamais lorsqu’elle voyage.
Histoire :
Les rayons du soleil levant donnait une note dorée à la verdure de la forêt lorsque selon la tradition familiale Iran’Louna donna naissance à une petite fille qui allait devenir le joyau de son père et de sa mère. Lui, Adra’Vix, botaniste apothicaire et érudit parmi les Elfes la prit dans les mains pour la montrer aux arbres et au soleil tandis que sa mère ferma les yeux sur son nouveau bonheur. Etait-ce une conséquence de cette naissance ? Les incrédules diront que non, mais elle fut dotée d’une abondante chevelure rousse comme le feuillage d’automne et les rayons du soleil sur l’horizon et de profonds yeux verts du feuillage de sa naissance.
Iran’Dorah puisque c’est ainsi qu’elle fut baptisée grandit entre les enseignements attentifs de son père sur le nature et la poésie naturelle de sa mère à l’imagination fertile, nourrie de la nature et de l’histoire de Khantrivia, découvrant les forces connues et inexpliquées qui sont contenues dans chacun des Elfes, membres d’un peuple lié de façon magique à Khantrivia.
Elle fréquenta aussi les école de son peuple et sa vivacité d’esprit entraînée par celles de ses parents, fut très vite remarqués par ses enseignant et précepteurs et à 12 ans elle fréquentait plus volontiers ses camarades des années supérieures que les enfants de son âge. Elle se lia en particulier à une jeune fille, étudiante en prêtrise du culte de Shiva, brillante comme il se doit et se nommant Izen’Tiklah. Grâce à elle, elle découvrit les secrets de la religion, de l’histoire de Khantrivia et améliora ses connaissance des rites et traditions.
Elle était donc destinée à grandir dans le bonheur et l’harmonie dans le respect de la tradition elfes, mais rien n’est jamais joué d’avance et quelque chose grandit en elle qui la rendait petit à petit plus distante. Certains diront à cause de son désir constant de compréhension de la philosophie de la nature, d’autre diront qu’elle fut une enfant trop choyée et peut être auront ils tous raison mais devient-on aussi intransigeante pour cela ?
Il faut toujours un événement pour que tout bascule soit d’un côté soit de l’autre. Un rien aurait pu la faire rester du côté d la sagesse de son peuple, mais aujourd’hui, il ne lui en reste que l’intelligence…
Elle avait donc 14 ans, devenait une belle jeune fille que seule sa distance pouvait rendre antipathique. Distance qui s’évanouissait a contact de ses parents et de son amie Izen’Tiklah. Elle continuait à fréquenter les bibliothèques et le campus sous le prétexte de rencontrer son amie et laissait traîner ses yeux et ses oreilles. Les chose s’éclaircissait en son esprit et son amie lui traçait un chemin tout droit vers une érudition e haut niveau, peut être jusqu’à pouvoir servir des très hauts personnages. Et des conversations comme ce jour, à l’orée de la forêt avaient lieu souvent entre les deux amis
« Je suis sure que tu feras une grande érudite plus tard.
__ Si seulement tu pouvais dire vrai. Seulement je ne suis pas sure que me parents soient tellement d’accord.
__ Tu ne leur en as pas encore parlée ?
__ Non… Mon père dit que la connaissance éloignée de la réalité des gens et de la vie est trop vaine. Il ne veut pas qu’on y soit enfermé….
__ Il a parfaitement raison. Mais la connaissance au contraire doit permettre à tous ceux qui nous entourent de prendre les bonnes décisions à chaque inst… Chut ! Je crois que j’ai entendu quelque chose…
Des hommes armés émergèrent des buissons, des poignard luisaient dans leur main, leur mine sans expression laissaient deviner l’emprise de stupéfiant sur leurs esprits. Izen’Tiklah poussa son amie en arrière tout en lui intimant l’ordre de fuir.
« Cours. Cours sans te retourner ! »
Iran’Dorah courut mais s’arrêta presque aussitôt. Ne sachant que faire mais ne pouvant se résoudre à abandonner son amie, elle se dissimula dans la végétation comme seuls savent le faire les Elfes.
Elle était persuadée que la raison et la connaissance allaient venir en aide à son ami et dénouer le drame qui se tramait et ses yeux s’agrandirent d’horreur lorsque les poignards percèrent le corps de son amie, sans écouter les paroles apaisantes et pleine d’idéaux. Seul son instinct de survie étouffa le cri d’horreur. Tandis que les spadassins dépouillaient leur victime.
Quelques heure plus tard elles furent retrouvées Iran’Dorah, à genoux comme absente au côté du corps abandonné de son amie. Un tremblement de terre avait ébranlé son esprit en la privant de Izen’Tiklah et de sa foi pour la connaissance qui l’avait abandonnée prouvant à son esprit d’adolescente que cette connaissance ne sert à rien sans réel pouvoir. Il fallait donc accéder à toutes connaissances même les plus ultimes
Le désespoir l’enferma dans sa chambre plus d’une semaine, ses parents respectèrent sa douleur la laissant se forger ses résolutions.
Lorsqu’enfin la porte se rouvrit, il faisait nuit et la maison était endormie. Elle réveilla ses parents
»Je vais partir. Le monde m’attend pour m’expliquer et m’offrir toutes les connaissances…. »
Elle montra son sac déjà prèt à ses parents éberlués qui sans doute incrédule et encore ensommeillés ne pouvaient que l’écouter.
Lorsqu’elle referma la porte elle avait pris en passant l’arc et le carquois de son père.
Sept ans passèrent sans qu’elle ne donne de nouvelles n’eussent de nouvelles de leur fille. Elle revint grande érudite forée dans un monastère des montagne. Le temps l’avait comblée de connaissance et de la beauté de sa mère mais l’avait éloignée de la vie. C’est pourquoi, une semaine auparavant…
»Ma fille approche. Tu est sans doute la plus savante de nos élèves.. ;
__ Merci grand sage.
__ Ne m’interromps pas. Tu es aussi hélas la plus ignorante
__ Je ne comprends pas …
__ Et bien c’est cette compréhension que tu devras maintenant acquérir et cela tu ne pourras le faire ici.
__ Mais ?….
__ Ce soir sera ta dernière nuit au monastère. Demain tu nous quitteras et tu ne reviendras lorsque tu auras trouvé…
__ Trouvé quoi ?
__ Ce qui te manque. Au revoir ma fille. Que tes pas trouvent le chemin de ton esprit
__ Au revoir grand sage.
Ce soir là elle ne dormit pas. Ses paquets ne lui prenaient que peu de place. Peu de choses lui appartenaient, mais elle tournait et retournait le paroles de son maître »Tu es la plus ignorante ».
Le lendemain elle partit à l’aube, les traits tirés par le fatigue.
Ce fut sans y réfléchir que se pas la conduisirent dans sa foret natale. Elle fut accueillie comme il se doit pas ses parents. Elle pensait trouver chez eux la réponse qu’elle cherchait comme on le voyait souvent dans les romans, mais seuls les souvenirs douloureux revinrent à la surface.
Vers quoi donc se tourner alors que vers de connaissances supérieures ? La magie devait être son but. Cette magie qui avait fait Khantrivia et qui avait donné la vie à toute chose. Bien sur la tâche était énorme mais n’était-ce pas là la raison de son ignorance ?
Elle partit donc en quête des savoirs ultimes, sachant que chaque temple l’attendrait…
EQUIPEMENT
Iran'Dorah voyage toujours avec peu de bagages. Elle possède bien sur de ,nombreux ouvrages au monastère mais qu'elle ne peut se permettre d'emporter partout avec elle.
Elle se contente d'un manuscrit de ses propres notes sur les sujets quo la concernent de plus prèt.
Elle voyage avec une mante à large capuche, son sac contenant de quoi faire du feu, une torche, une couverture, et bien sur son arc et son carquois. En haut de sa cuisse sous ses vêtements un fourreau contient une dague sur laquelle elle ne compte que peuétant données ses capacités en combat rapproché.